domingo, 22 de febrero de 2009

Des reves...voila ce qui me reste..

Au milieu de cette tourmente, ou je dois séparer le bon du mauvais, dans les gens qui m'entourent..
Ou le silence de l'argentin, me plonge dans une tristesse insondable..
Imaginer qu'il doit être avec une fille, et comment puis-je même le lui reprocher?
Une fille a qui il tient la main, qu'il fait rire, comme moi il m'a fait rire...

Et puis aujourd'hui on dirait..
Que le soleil s'est levé a nouveau.

J'ai refait ce matin, les choses que j'aime faire. Et je me suis sentie bien.

Une nouvelle photo a ete postée sur le profil de l'argentin a l'instant.
Un peu floue, mais qu'elle plaisir de le voir.

Au poignet gauche, il porte le bracelet
que je lui ai offert.
Un soir
A Copenhague.

viernes, 20 de febrero de 2009

Me proteger

C'est ce que je m'efforce a faire.
Me protéger de ces jeunes premiers qui essaient par tous les moyens de me faire du mal.
Deux ans après la fin d'une histoire éphémère.

De ces argentins qui disparaissent en Argentine.
De cette tristesse qui s'est emparée de moi depuis maintenant trois semaines. Qui me submerge, qui me paralyse.
Qui s'empare du goût que j'ai pour tout.
Qui ne le laisse rien que ce goût amer, que cette tension dans mes tempes.

A force de ne plus sourire.

Je me protège aussi de ces amis qui n'en sont pas.
Dont l'apparence m'a longtemps trompee.
Qui ont change, peut-etre.
Mais que je ne dois plus voir.

Oui, ces soirées de février, dans ma ville d'adoption.
Ne sont pas plus heureuses que celle que je passais l'année dernière dans la ville de Gaudi.

Au moins alors..
Je pouvais m'échapper, pédaler a toute vitesse et me retrouver, au bord de la mer, dans le pénombre, au milieu des promeneurs.
Aller jusqu'au fond, dans la ville olympique..
Regarder la plage de la ville olympique.
Rêver

Que me reste-t-il a présent?