jueves, 28 de enero de 2010

Poursuite

C'est l'andalous qui a nouveau fait une réapparition fugitive dans ma vie, en réactivant quelques semaines, son profil sur le site dont nous avons tous deux un compte.
Il ne me parle pas, pourtant.
J'imagine que c'est un geste de sa part pour reprendre contact avec moi, et avec celles qu'il a lâchement traitees aussi.

Mais de la meme facon ou son manque d'enthousiasme a mon égard m'avait poussée a mettre fin a notre relation, je me garde bien d'encourager ce nouvel acte de veulerie.

Et pourtant.
Je me suis mise a lire les histoires de filles qui cherchent l'amour.
Ces filles dont les désenchantements n'en finissent pas..qui multiplient les rencontre avec ces losers, ces hommes sans âme et sans couleur.

Un contraste tranchant avec les rencontres que j'ai faites ces trois dernieres années. Ces sept hommes dont je n'ai pourtant pas cherché la compagnie, mais qui m'ont fievreusement poursuie, jusqu'a me communiquer leur folie.

Ne jamais poursuivre un homme.
Ne jamais pardonner la moindre de ses lâchetés.
Et toujours, garder son intégrité et sa fierté.

La passion est aussi peut-etre un sentiment que j'inspire a ceux qui croisent mon chemin. Car en amour ou en amitie, je l'ai remarque, ceux qui me cotoient nourissent des sentiments forts a mon égard, ceux que je néglige me haïssent souvent.

Je peux comprendre cette déification. Je ressens la meme a l'égard du métis raffiné.
Pourtant je sais comment contrer ce sentiment, qui n'est lié a rien de tangible.
Je dois simplement éviter que nos chemins se croisent.

Je dois nous protéger de sentiments qui n'ont pas de sens.

martes, 26 de enero de 2010

J'aime cette espace

Je relis mes textes parfois, je me plonge dans cette souffrance passee, comme dans un recit dont la melancolie me touche.
Et je me dis que malgre tout, chaque rencontre que j'ai faite, du muffle a l'argentin, en passant par le jeune premier et le beau caribbeen, chaque rencontre m'a apporte beaucoup.
J'ai change, j'ai muri, et j'ai reussi a acquerir cette plenitude que je recherchais alors.

Une plenitude qui ne vient que de moi, une force que j'a conquis a force de larmes.
Mais elle est maintenant inebranlable.

Mon occupation principale obnubile mes penseee, mon energie..
C'est elle qui me donne cette liberte, qui m'offre ces voyages.
Et assure mon confort quotidien.

Je suis sereine.

Hiver

Même au milieu du froid et de ma désillusion face a mon quotidien sans couleur, on dirait que l'amour ne quitte jamais mes horizons très longtemps.
Je ne le recherche pas; je suis fière d'avoir laisse partir le jeune rebelle, d'avoir fait place a la raison.
Non je ne pouvais pas continuer avec lui. Il était trop jeune et trop rebelle.Meme si ses caresses me manquent terriblement.
Je pense souvent a lui, en espérant qu'il est heureux. En lui souhaitant en pensée, tout ce qu'il désire.
Je chéris mes souvenirs avec lui. Notre rencontre cette fraiche matinée de juillet a Gérone, alors que mes oreilles résonnaient encore du concert de la veille.
Sa compagnie agréable sous l'ombre majestuese de la cathédrale. Ses mains sur mes hanches alors que nous nous quittons.
Et nos escapades sur la Costa Brava, la belle mer brillant sur les calanques, les siestes dans les forets de pins, et toutes ces premières fois pour lui. Premier verre de vin, premier restaurant. Premiere cigarette..premier massage..

Mais un autre me trouble.
Est-ce parce que je le trouble?
Mais l'atmosphère s'électrise en sa présence.
Il est beau et comment dire.
Raffiné.
Un métissage délicat et subtil.
Et non assumé

Je me l'effet de la panthere dont il envie liberte.

Mais je ne le laisserai pas semer le trouble dans mon coeur.
Apres tout nous avonc nos attachements respectifs.
Et puis je n'ai plus envie de tomber amoureuse.
Je ne dois pas le laisser me poursuivre...