J'ecoute la musique bresilienne, Wanda Sa, Roberto Menescal, qui m'accompagnait tous les jours au printemps.
Quand l'annee derniere je longeais la plage en velo.
Tous les jours, a mon retour du travail.
C'est le printemps a nouveau.
Et je suis rentree dans ma ville.
Je me rappelle cette souffrance, cette solitude.
Je l'oubliais en mettant la musique tres fort et en pedalant de toutes mes forces jusqu'a la ville Olympique.
Je ne me lassais pas de regarder la mer si bleue..
Je pensais encore beaucoup a l'andalous. Car l'argentin ne l'avais pas encore remplace dans mon coeur.
Aujourd'hui je regrette ces sorties au grand air. Ces retours quotidien du travail, en velo. Je regrette cette lumiere.
La succession des plages.
Je regrette cette ville si belle.
Je souffre de ne pouvoir y retourner plus souvent.
Pourtant je n'aimerais pas y retourner pour toujours.
J'y ai trop souffert.
Et je sais que c'est par un concours de circonstance unique, et une chance exceptionelle, que j'aie pu y faire la connaissance de l'argentin.
L'argentin qui n'y etais que de passage, et dont la purete n'etais pas encore entachee par les hommes de la ville.
L'argentin, une ame soeur. Mais avions-nous un avenir ensemble?
Nos ames etaient identiques.
Mais nos parcours differents.
Il n'empeche.
Tous les jours de ma vie,
il me manquera..
J'aimerais retourner dans la ville, libre, et y ecrire mon histoire..
miércoles, 25 de marzo de 2009
jueves, 12 de marzo de 2009
Naissance
Je n'ai plus envie de cette melancolie.
Tout simplement.
Six semaines de grande tristesse.
Ou je pense a l'argentin, constamment.
J'attends de ses nouvelles, et elles ne viennent pas.
Je sombre.
Et quand je lui parle enfin, je ressens la distance qu'il met entre nous, comme l'embrun froid de la mer, en hiver.
J'explore ma tristesse, pour bien en faire le tour.
Pendant six semaines, mon gout pour les choses, les gens, les plaisir est parti.
Je ne veux rien.
Je ne veux que lui.
Et puis je vais a Barcelone pour le week-end.
La belle ville. Qui m'a fait si mal.
J'explore ou nous avons marche, main dans la main.
Cette melancolie me possede encore davantage, m'etouffe.
Jusqu'a ce que comme ca.
Je decide de me battre contre elle.
Je suis dans la belle ville de Gaudi.
Le soleil brille, tout le monde est dehors.
On me regarde beaucoup, comme toujours.
On me complimente.
Mes amies sont la, nous sortons beaucoup.
Non, je ne peux pas laisser cette melancolie me posseder.
Et je crois bien que j'ai pris le dessus.
Je n'ai plus envie de regarder le profil en ligne de l'argentin.
Il m'a raconte qu'il va vivre quelque temps en Patagonie.
Et bien qu'il y reste.
Que sa vie y soit paisible.
La belle ville de Gaudi me fait quelques clins d'oeils.
Je croise l'andalous dans ce club qu'il m'a fait decouvrir
Il est avec une fille qui me ressemble beaucoup.
Brune, les cheveux boucles et volumineux. Le corps tres bien forme.
Mais je regarde ailleurs et j'evite son regard.
Je suis loin de tout cela maintenant.
Je vois aussi ce garcon qui n'avais pas repondu a un simple message que je lui avais envoye. Nos regards se croisent.
Enfin, dans le bus qui me ramene vers l'aeroport.
Je vois les voitures de la compagnie touristique pour laquelle l'argentin travaillait. Elles nous devancent.
Non, cette melancolie n'a plus d'attrait pour moi.
Les garcons autour de moi me sourient.
Et a present, j'ai envie de leur repondre.
Tout simplement.
Six semaines de grande tristesse.
Ou je pense a l'argentin, constamment.
J'attends de ses nouvelles, et elles ne viennent pas.
Je sombre.
Et quand je lui parle enfin, je ressens la distance qu'il met entre nous, comme l'embrun froid de la mer, en hiver.
J'explore ma tristesse, pour bien en faire le tour.
Pendant six semaines, mon gout pour les choses, les gens, les plaisir est parti.
Je ne veux rien.
Je ne veux que lui.
Et puis je vais a Barcelone pour le week-end.
La belle ville. Qui m'a fait si mal.
J'explore ou nous avons marche, main dans la main.
Cette melancolie me possede encore davantage, m'etouffe.
Jusqu'a ce que comme ca.
Je decide de me battre contre elle.
Je suis dans la belle ville de Gaudi.
Le soleil brille, tout le monde est dehors.
On me regarde beaucoup, comme toujours.
On me complimente.
Mes amies sont la, nous sortons beaucoup.
Non, je ne peux pas laisser cette melancolie me posseder.
Et je crois bien que j'ai pris le dessus.
Je n'ai plus envie de regarder le profil en ligne de l'argentin.
Il m'a raconte qu'il va vivre quelque temps en Patagonie.
Et bien qu'il y reste.
Que sa vie y soit paisible.
La belle ville de Gaudi me fait quelques clins d'oeils.
Je croise l'andalous dans ce club qu'il m'a fait decouvrir
Il est avec une fille qui me ressemble beaucoup.
Brune, les cheveux boucles et volumineux. Le corps tres bien forme.
Mais je regarde ailleurs et j'evite son regard.
Je suis loin de tout cela maintenant.
Je vois aussi ce garcon qui n'avais pas repondu a un simple message que je lui avais envoye. Nos regards se croisent.
Enfin, dans le bus qui me ramene vers l'aeroport.
Je vois les voitures de la compagnie touristique pour laquelle l'argentin travaillait. Elles nous devancent.
Non, cette melancolie n'a plus d'attrait pour moi.
Les garcons autour de moi me sourient.
Et a present, j'ai envie de leur repondre.
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