C'est ce que je m'efforce a faire.
Me protéger de ces jeunes premiers qui essaient par tous les moyens de me faire du mal.
Deux ans après la fin d'une histoire éphémère.
De ces argentins qui disparaissent en Argentine.
De cette tristesse qui s'est emparée de moi depuis maintenant trois semaines. Qui me submerge, qui me paralyse.
Qui s'empare du goût que j'ai pour tout.
Qui ne le laisse rien que ce goût amer, que cette tension dans mes tempes.
A force de ne plus sourire.
Je me protège aussi de ces amis qui n'en sont pas.
Dont l'apparence m'a longtemps trompee.
Qui ont change, peut-etre.
Mais que je ne dois plus voir.
Oui, ces soirées de février, dans ma ville d'adoption.
Ne sont pas plus heureuses que celle que je passais l'année dernière dans la ville de Gaudi.
Au moins alors..
Je pouvais m'échapper, pédaler a toute vitesse et me retrouver, au bord de la mer, dans le pénombre, au milieu des promeneurs.
Aller jusqu'au fond, dans la ville olympique..
Regarder la plage de la ville olympique.
Rêver
Que me reste-t-il a présent?
viernes, 20 de febrero de 2009
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