miércoles, 25 de marzo de 2009

C'est comme un reve.

J'ecoute la musique bresilienne, Wanda Sa, Roberto Menescal, qui m'accompagnait tous les jours au printemps.
Quand l'annee derniere je longeais la plage en velo.
Tous les jours, a mon retour du travail.

C'est le printemps a nouveau.
Et je suis rentree dans ma ville.
Je me rappelle cette souffrance, cette solitude.
Je l'oubliais en mettant la musique tres fort et en pedalant de toutes mes forces jusqu'a la ville Olympique.

Je ne me lassais pas de regarder la mer si bleue..

Je pensais encore beaucoup a l'andalous. Car l'argentin ne l'avais pas encore remplace dans mon coeur.

Aujourd'hui je regrette ces sorties au grand air. Ces retours quotidien du travail, en velo. Je regrette cette lumiere.
La succession des plages.
Je regrette cette ville si belle.
Je souffre de ne pouvoir y retourner plus souvent.

Pourtant je n'aimerais pas y retourner pour toujours.
J'y ai trop souffert.
Et je sais que c'est par un concours de circonstance unique, et une chance exceptionelle, que j'aie pu y faire la connaissance de l'argentin.
L'argentin qui n'y etais que de passage, et dont la purete n'etais pas encore entachee par les hommes de la ville.

L'argentin, une ame soeur. Mais avions-nous un avenir ensemble?

Nos ames etaient identiques.
Mais nos parcours differents.

Il n'empeche.
Tous les jours de ma vie,

il me manquera..


J'aimerais retourner dans la ville, libre, et y ecrire mon histoire..

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